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Quand une simple intervention sur mon pédalier P1000 a failli ruiner ma course d’endurance

À seulement trois jours du départ des 6 Heures de COTA, j’ai vécu l’un des pires cauchemars pour tout simracer : voir son matériel principal devenir inutilisable au moment où on en a le plus besoin. Tout ça à cause d’une intervention (que je pensais anodine) sur mon pédalier P1000

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L’envie d’optimiser… la fausse bonne idée

Comme beaucoup d’entre nous, j’aime peaufiner mon setup. Le pédalier, c’est le cœur des sensations, et je voulais ajuster la résistance pour gagner en précision au freinage.L’intervention semblait simple : changer quelques élastomères, régler la dureté et repartir pour des heures d’entraînement. Mais au lieu de ça, c’est la catastrophe qui a frappé. Le montage à l'envers d'une pièce est venue bloquer totalement le frein.


Bref, mon P1000 était totalement inutilisable. Imaginez le stress à trois jours seulement d’une course d’endurance où la régularité et la confiance dans son matériel sont essentielles !


Le timing : pire, ce n’était pas possible

L’endurance, ce n’est pas une simple course sprint. On parle de six heures de pilotage, de relais avec ses coéquipiers, et d’une gestion fine de chaque freinage. Rouler sans confiance dans son pédalier ? Impensable.À ce moment-là, je me suis vraiment demandé si je devrais déclarer forfait… une idée difficile à avaler

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Le sauvetage grâce à The French Simracer

C’est là que le site The French Simracer est intervenu comme un véritable partenaire de course. Après avoir expliqué ma situation, nous avons trouvé ensemble une solution qui allait non seulement me permettre de prendre le départ, mais aussi upgrader mon pédalier.

La pièce endommagée a été remplacée par un module hydraulique, transformant ainsi mon P1000 et lui offrant une nouvelle dimension de réalisme et de sensations.

Et cerise sur le gâteau : ils m’ont fait un geste commercial et ont assuré une expédition express en 24h pour que tout arrive à temps. Autant dire que sans eux, je n’aurais pas eu la même sérénité au moment de m’installer sur la grille de départ.

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La leçon à retenir

Cette mésaventure m’a appris une chose : ne jamais toucher à son matériel critique à l’approche d’une grosse course. Mais elle m’a aussi montré qu’avec les bons partenaires, un problème peut se transformer en opportunité.

Au final, je pars pour les 6 Heures de COTA avec un pédalier non seulement réparé, mais amélioré. Et ça, c’est le genre de happy end qu’on aime vivre en simracing.

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